mardi 22 juillet 2008

Yves Laurel et Bart Hardy porteront-ils le chapeau?



Qui coiffera qui sur la ligne d'arrivée? Il faudrait travailler du chapeau pour le savoir. Etre un peu rond, rigide, pointu turlututu. A chercher rechercher jour et nuit la solution telle une aiguille dans un chapeau de paille.
Ils avaient pourtant démarré sur des chapeaux de roue, Laurel et Hardy. Annoncé cinq minutes de courage politique. Depuis, ils tentent de faire porter le chapeau, ils en bavent des ronds de chapeau, ils rament. Canotiers.
L'histoire ne leur sera pas redevable de nombreux chapeaux bas. Ces messieurs-là n'auront guère de plume à leur chapeau. Les titrailles, les chapeaux en sont las. Bas-de-forme. Modistes feutrés. 800.000 coups de chapeau puis plus rien. Des toqués sans étoile. Mous (du chapeau), melons. Ils n'ont pu cacher longtemps leur perruque, leur cartel postiche. Slecht bestuur capillaire. A bas la calotte! A bas les calotins!

Durum

Aucun commentaire: