Le mandat de Joëlle Milquet à la présidence du cdH est venu à échéance, en vertu des statuts du parti, quatre mois après le renouvellement du parlement fédéral, soit en octobre 2007. Depuis lors, Mme Milquet préside par dérogation, promettant régulièrement des élections sans cesse reportées, enjeux obligent. Il y a pourtant bien un candidat pour lui succéder, Benoît Lutgen, mais ce dernier refuser de transformer l'essai par peur de devoir diriger un parti avec une belle-mère dans le dos. Conséquence? La (belle) mère Milquet indique qu'elle reste tant qu'il n'y a pas de “consensus” sur le nom de son successeur. Aux dernières nouvelles, elle reste au moins jusque janvier 2010. La mughabétisation se poursuit.
Durum
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